L'instant suédois
C'était l'époque où les suédois dominaient l'Europe sportive, entre les exploits de Borg et ceux de Stenmark, cinématographique avec Ingmar Bergmann ou Liv Ulmann, et où le royaume du Nord était le parangon de la
social-démocratie, exportant son fameux modèle alliant dynamisme économique et protection sociale dans les facultés d'économie du monde libre.
C'était aussi l'époque d'ABBA, ses tenues kitschs et ses arrangement soignés, ses costumes blancs et ses tubes planétaires, auquel Arte rendait hommage hier soir (veille de Suéde-France) dans sa série d'été consacrée aux années 1970
On ne peut pas dire que j'était (ni que je suis toujours d'ailleurs) un fan absolu du quatuor: je croyais d'abord méconnaître leur répertoire, exception faite du slow "Fernando " (que mes parents possédaient en 45 tours), de "Dancing queen" (surtout grâce au film australien" Priscilla, folle du désert " ou à "Muriel" )et des quelques chansons reprises dans Abbacadabra, la fameuse comèdie musicale où ont entre autres participé Daniel Balavoine et Clémentine Autain, Plastic Bertrand et Frida (d'Abba justement) .
En regardant le documentaire d'Arte qui donnait la parole à Agnetha, Bjorn, Benny et Anna-Frida (soit A.B.B.A), j'ai découvert que j'en connaissais plein d'autres, les tubes "Waterloo " et "Gimme, Gimme ", bien entendu mais aussi " the Winner takes it all " (dont je connaissais surtout la version française de Mireille Mathieu !!!) ou "Knowing you, Knowing me" . C'est finalement toute la bande son de ma prime enfance, au même titre que les habitués des Carpentier qu'était Joe Dassin ou Michel Delpech, qui retentissait de nouveau dans mes oreilles .
Que l'on aime la pop des barbus blondinets de Suède ou non, il faut reconnaître que leur musique a peu vieilli, au contraire de certains tubes synthétisés des années 80; du type "Modern Talking" ou "Partenaire particulier "
social-démocratie, exportant son fameux modèle alliant dynamisme économique et protection sociale dans les facultés d'économie du monde libre.
C'était aussi l'époque d'ABBA, ses tenues kitschs et ses arrangement soignés, ses costumes blancs et ses tubes planétaires, auquel Arte rendait hommage hier soir (veille de Suéde-France) dans sa série d'été consacrée aux années 1970
On ne peut pas dire que j'était (ni que je suis toujours d'ailleurs) un fan absolu du quatuor: je croyais d'abord méconnaître leur répertoire, exception faite du slow "Fernando " (que mes parents possédaient en 45 tours), de "Dancing queen" (surtout grâce au film australien" Priscilla, folle du désert " ou à "Muriel" )et des quelques chansons reprises dans Abbacadabra, la fameuse comèdie musicale où ont entre autres participé Daniel Balavoine et Clémentine Autain, Plastic Bertrand et Frida (d'Abba justement) .
En regardant le documentaire d'Arte qui donnait la parole à Agnetha, Bjorn, Benny et Anna-Frida (soit A.B.B.A), j'ai découvert que j'en connaissais plein d'autres, les tubes "Waterloo " et "Gimme, Gimme ", bien entendu mais aussi " the Winner takes it all " (dont je connaissais surtout la version française de Mireille Mathieu !!!) ou "Knowing you, Knowing me" . C'est finalement toute la bande son de ma prime enfance, au même titre que les habitués des Carpentier qu'était Joe Dassin ou Michel Delpech, qui retentissait de nouveau dans mes oreilles .
Que l'on aime la pop des barbus blondinets de Suède ou non, il faut reconnaître que leur musique a peu vieilli, au contraire de certains tubes synthétisés des années 80; du type "Modern Talking" ou "Partenaire particulier "