Réveil tonique
Vous avez mal dormi, des soucis (ou le bruit de la rue, les ronronnements des Vélib, la gastro de la petite ou le visionnage tardif des matches de l'Equipe du Dimanche ou de la Série rose de TMC.....) vous ont empêché de trouver le bon sommeil , et voilà, 7 heures du mat' arrive, des frissons et l'impérieuse nécessité de se lever, de se laver , de boire rapidement un bon café avant de partir travailler (toujours plus pour gagner ....autant).
Pour éviter d'arborer une tête de déterré, il suffit de brancher dans son lecteur CD ou Mp3, voire de poser le saphir sur le microsillon pour les plus anciens d'entre nous, de la musique adéquate...
Et dans ma discothèque, je n'en vois que deux qui vous donnent une telle pêche et vous revigorent aussi efficacement qu'une cure de Guronsan: Mika et Mendelssohn.
Le premier est sans conteste le grand gagnant de l'année 2007, en termes de disques vendus, de récompenses plus ou moins sérieuses. Il est vrai que son album "Life in cartoon motion" est une machine à danser , à chanter, de préférence avec une voix de fausset, les nombreux titres que sont " Relax, take it easy", " Grace Kelly", " Big girl" et bien sur "Love Today" (transformé en Chok dee aux sonorités thailandaises par la première de mes rejetonnes). Ce garcon partait cependant avec un double handicap : une virilité plus proche de Rupert Everett que de Bruce Willis, et des ascendances libanaises qui pouvaient faire craindre le pire : une filiation inavouée entre Soeur Marie Keyrouz et Bob Azzam, sans oublier une coiffure digne de Bernie (Chirac, pas Dupontel !!!!!). Mais non, l'album est aux couleurs de la pochette: colorée, un peu psychédélique, un brin kitsch et drôlement entraînant .
Quant à notre autre boute en train, M Félix Mendelssohn Bartholdy, il est surtout connu pour sa très agacante marche nuptiale (do mi sol etc) extraite du Songe d'une nuit d'été, pour ses oratorios et sa mort jeune, ce qui s'avère finalement assez classique pour un romantique du XIXème siècle. Ses symphonies, qui portent, pour certaines d'entre elles des noms de contrées (Ecossaise, italienne) sont ainsi moins connues mais la symphonie n°4, dite Italienne justement, est un des morceaux que je trouve les plus gais de toute la musique occidentale. Son premier mouvement, surtout, est d'un dynamisme !!! Comble de l'ironie, sur le Cd que je possède, l'Italienne succède à un des morceaux les plus noirs, à contrario, de l'époque, à savoir la Symphonie Inachevée de l'ami Franz, ce qui en accroit le caractère gai et futile.....
Pour éviter d'arborer une tête de déterré, il suffit de brancher dans son lecteur CD ou Mp3, voire de poser le saphir sur le microsillon pour les plus anciens d'entre nous, de la musique adéquate...
Et dans ma discothèque, je n'en vois que deux qui vous donnent une telle pêche et vous revigorent aussi efficacement qu'une cure de Guronsan: Mika et Mendelssohn.
Le premier est sans conteste le grand gagnant de l'année 2007, en termes de disques vendus, de récompenses plus ou moins sérieuses. Il est vrai que son album "Life in cartoon motion" est une machine à danser , à chanter, de préférence avec une voix de fausset, les nombreux titres que sont " Relax, take it easy", " Grace Kelly", " Big girl" et bien sur "Love Today" (transformé en Chok dee aux sonorités thailandaises par la première de mes rejetonnes). Ce garcon partait cependant avec un double handicap : une virilité plus proche de Rupert Everett que de Bruce Willis, et des ascendances libanaises qui pouvaient faire craindre le pire : une filiation inavouée entre Soeur Marie Keyrouz et Bob Azzam, sans oublier une coiffure digne de Bernie (Chirac, pas Dupontel !!!!!). Mais non, l'album est aux couleurs de la pochette: colorée, un peu psychédélique, un brin kitsch et drôlement entraînant .
Quant à notre autre boute en train, M Félix Mendelssohn Bartholdy, il est surtout connu pour sa très agacante marche nuptiale (do mi sol etc) extraite du Songe d'une nuit d'été, pour ses oratorios et sa mort jeune, ce qui s'avère finalement assez classique pour un romantique du XIXème siècle. Ses symphonies, qui portent, pour certaines d'entre elles des noms de contrées (Ecossaise, italienne) sont ainsi moins connues mais la symphonie n°4, dite Italienne justement, est un des morceaux que je trouve les plus gais de toute la musique occidentale. Son premier mouvement, surtout, est d'un dynamisme !!! Comble de l'ironie, sur le Cd que je possède, l'Italienne succède à un des morceaux les plus noirs, à contrario, de l'époque, à savoir la Symphonie Inachevée de l'ami Franz, ce qui en accroit le caractère gai et futile.....