Das Leben der Anderen
Seit ein paar Tagen habe ich die Lust, ein Text auf Deutsch zu schreiben. Weder der lustige Kommentaren, die mit meiner junge schweizerin Kollegin, senden; weder auch dem so wunderbares Film " Das Leben der Anderen", das gestern abend ich gesehen habe; versuche ich jetzt, es zu machen.
Leider ist mein Deutsch nicht so gut als vorher, trotz meiner zweijährigen Erlebnis in Wien, und ich soll wieder auf französich shreiben, damit die Leser, die niemals Deutsch gerlernt haben, verstehen, was ich schreibe.
" La vie des Autres " est donc cet exceptionnel film allemand, fleuron de ce nouveau cinéma qui montre que les cinéastes d'outre-rhin peuvent faire autre chose que "Derrick" ou " Rex" , et qui raconte l'histoire d'un couple d'intellectuel est-allemand espionné par la Stasi, et j'oserais dire pour de mauvaises raisons (non des raisons politiques, qui ne justifieraient de toute façon pas le flicage quotidien, mais pour de basses pulsions personnelles , fondés non sur des idéaux mais bien une jalousie de bas étage).
Bien sûr, il raconte aussi le quotidien pesant de la DDR des années 80, d'avant la chute du mur, les trahisons intimes, les interrogatoires contraignants, la pesanteur intellectuelle qui peut envoyer en prison pour une mauvaise blague ou un propos subversif et il n'a pas non plus la nostalgie légère et ludique des cornichons ou des icones de la conquête spatiale est-allemande, si justement décrit dans cet autre chef d'oeuvre du nouveau cinéma allemand qu'est " Good Bye Lenin".
Il ne s'agit pas non plus d'une histoire d'amour, mais plus d'une histoire d'amitié virtuelle, inaboutie, un "In the Mood for love " de la sympathie; qui narre la fascination d'un flic de la Stasi, au communisme pur et dur pour un couple d'intellectuels; fascination qui ira jusqu'à le couvrir, au mépris de sa propre carrière.
C'est un film fort, prenant, et interprété par de très bon acteurs, dont feu Ulrich Mühe, dans le rôle principal (grossartiger und unbenkannter Schauspieler sowie die Daniel Brühl, Heino Ferch oder Moritz Bleibtreu und Franka Potente ) qui n'a aucunement volé ses récompenses obtenues récemment: César, Oscar ou prix du film allemand )
Leider ist mein Deutsch nicht so gut als vorher, trotz meiner zweijährigen Erlebnis in Wien, und ich soll wieder auf französich shreiben, damit die Leser, die niemals Deutsch gerlernt haben, verstehen, was ich schreibe.
" La vie des Autres " est donc cet exceptionnel film allemand, fleuron de ce nouveau cinéma qui montre que les cinéastes d'outre-rhin peuvent faire autre chose que "Derrick" ou " Rex" , et qui raconte l'histoire d'un couple d'intellectuel est-allemand espionné par la Stasi, et j'oserais dire pour de mauvaises raisons (non des raisons politiques, qui ne justifieraient de toute façon pas le flicage quotidien, mais pour de basses pulsions personnelles , fondés non sur des idéaux mais bien une jalousie de bas étage).
Bien sûr, il raconte aussi le quotidien pesant de la DDR des années 80, d'avant la chute du mur, les trahisons intimes, les interrogatoires contraignants, la pesanteur intellectuelle qui peut envoyer en prison pour une mauvaise blague ou un propos subversif et il n'a pas non plus la nostalgie légère et ludique des cornichons ou des icones de la conquête spatiale est-allemande, si justement décrit dans cet autre chef d'oeuvre du nouveau cinéma allemand qu'est " Good Bye Lenin".
Il ne s'agit pas non plus d'une histoire d'amour, mais plus d'une histoire d'amitié virtuelle, inaboutie, un "In the Mood for love " de la sympathie; qui narre la fascination d'un flic de la Stasi, au communisme pur et dur pour un couple d'intellectuels; fascination qui ira jusqu'à le couvrir, au mépris de sa propre carrière.
C'est un film fort, prenant, et interprété par de très bon acteurs, dont feu Ulrich Mühe, dans le rôle principal (grossartiger und unbenkannter Schauspieler sowie die Daniel Brühl, Heino Ferch oder Moritz Bleibtreu und Franka Potente ) qui n'a aucunement volé ses récompenses obtenues récemment: César, Oscar ou prix du film allemand )