Rentrée littéraire (et politique)
Après quelques notes plus ludiques, un bref retour sur l'actualité politique de ces derniers jours :
* un petit voyage en Géorgie, tout d'abord ou l'inconséquence du Président Saakchvili, qui escomptait peut-être un soutien militaire américain ou otanien a failli encore faire plus de dégats : cette région du monde est une poudrière et les nouveaux russes (POutine et sa marionnette Medvedev ) ne cachent plus leur ambition: ils veulent reconquérir le rôle perdu de l'Union soviétique: celui de puissance bipolaire . Il me semble cependant que l'Europe (et notamment son président en exercice ) a joué pleinement son rôle de médiateur et s'est même affirmé auprès des Etats-Unis
* la vie politique française s'est, encore une fois nourrie de polèmiques et de scandales, dont la plupart ont été dénonçés par le maître du Modem, François B, qui, avec le petit facteur; et profitant de l'inexorable agonie du PS, s'affiche comme l' opposant sérieux au pouvoir sarkoziste . Il est ainsi en première ligne contre le scandaleux fichier Edvige qui recense notamment les opinions politiques et préférences sexuelles des élus, militants, bénévoles (paradoxe extreme, on est récompensé de s'investir dans la vie publique et citoyenne) et levé le lièvre de l'affaire Rossi / Clavier (le directeur de la sécurité publique corse viré pour ne pas avoir empêché la visite de nationalistes corses dans la villa de l'acteur, grand ami du président). Bien sur, les nationalistes n'ont pas tous les droits et leurs exactions doivent être sérieusement punis, mais le verdict aurait-il été le même si la victime était un simple expatrié du
continent ? Et puis, on est toujours un peu victime de sa réputation ....(ceci étant, d'autres avant lui, à l'exception du Général, ont commis des injustices similaires . Il y a quand même un côté " fait du prince " qui me dérange !
* la rentrée littéraire s'annonce encore une fois bien riche et variée : à côté des inévitables Amélie Nothomb et Christine Angot, Jean-Paul Dubois et Laurent Gaudé, des perles se cachent peut-être comme le "Providence " ou " L'élégance du Hérisson" des millésimes précédents.
Pour ma part, je suis assez curieux de découvrir " Bienvenue à ProfLand", une BD écrite par deux professeurs anonymes qui semblent décrire avec perspicacité et acidité leurs homologues : le prof d'histoire Géo, qui sais toujours tout et gagne toujours au Trivial Pursuit, comme je l'ai entendu sur "Inter' et peut-être aussi la secrétaire de l'Inspecteur, cerbére proche de la retraite au sens du service public qui se délite dans les limbes, le délégué syndical à la barbe de député socialiste des années 80 mais aussi le prof de ZEP, l'instit rurale ou le principal sincérement attaché à son établissement et qui a un fort rapport affectif avec lui ( comme le pauvre proviseur du collège d'Agde, profondément révolté par les graffitis nazis inscrits sur le mur du collège René Cassin, qui, double ignominie, est l'un des rédacteurs de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme).
A part cela, Rachida Dati est enceinte, Carla n'a pas vendu tant de disques que cela et Cécilia s'ennuie à New York; où le diable, c'est bien connu, s'habille en Prada
* un petit voyage en Géorgie, tout d'abord ou l'inconséquence du Président Saakchvili, qui escomptait peut-être un soutien militaire américain ou otanien a failli encore faire plus de dégats : cette région du monde est une poudrière et les nouveaux russes (POutine et sa marionnette Medvedev ) ne cachent plus leur ambition: ils veulent reconquérir le rôle perdu de l'Union soviétique: celui de puissance bipolaire . Il me semble cependant que l'Europe (et notamment son président en exercice ) a joué pleinement son rôle de médiateur et s'est même affirmé auprès des Etats-Unis
* la vie politique française s'est, encore une fois nourrie de polèmiques et de scandales, dont la plupart ont été dénonçés par le maître du Modem, François B, qui, avec le petit facteur; et profitant de l'inexorable agonie du PS, s'affiche comme l' opposant sérieux au pouvoir sarkoziste . Il est ainsi en première ligne contre le scandaleux fichier Edvige qui recense notamment les opinions politiques et préférences sexuelles des élus, militants, bénévoles (paradoxe extreme, on est récompensé de s'investir dans la vie publique et citoyenne) et levé le lièvre de l'affaire Rossi / Clavier (le directeur de la sécurité publique corse viré pour ne pas avoir empêché la visite de nationalistes corses dans la villa de l'acteur, grand ami du président). Bien sur, les nationalistes n'ont pas tous les droits et leurs exactions doivent être sérieusement punis, mais le verdict aurait-il été le même si la victime était un simple expatrié du
continent ? Et puis, on est toujours un peu victime de sa réputation ....(ceci étant, d'autres avant lui, à l'exception du Général, ont commis des injustices similaires . Il y a quand même un côté " fait du prince " qui me dérange !
* la rentrée littéraire s'annonce encore une fois bien riche et variée : à côté des inévitables Amélie Nothomb et Christine Angot, Jean-Paul Dubois et Laurent Gaudé, des perles se cachent peut-être comme le "Providence " ou " L'élégance du Hérisson" des millésimes précédents.
Pour ma part, je suis assez curieux de découvrir " Bienvenue à ProfLand", une BD écrite par deux professeurs anonymes qui semblent décrire avec perspicacité et acidité leurs homologues : le prof d'histoire Géo, qui sais toujours tout et gagne toujours au Trivial Pursuit, comme je l'ai entendu sur "Inter' et peut-être aussi la secrétaire de l'Inspecteur, cerbére proche de la retraite au sens du service public qui se délite dans les limbes, le délégué syndical à la barbe de député socialiste des années 80 mais aussi le prof de ZEP, l'instit rurale ou le principal sincérement attaché à son établissement et qui a un fort rapport affectif avec lui ( comme le pauvre proviseur du collège d'Agde, profondément révolté par les graffitis nazis inscrits sur le mur du collège René Cassin, qui, double ignominie, est l'un des rédacteurs de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme).
A part cela, Rachida Dati est enceinte, Carla n'a pas vendu tant de disques que cela et Cécilia s'ennuie à New York; où le diable, c'est bien connu, s'habille en Prada